Des travailleuses du textile parlent de la représentation de leur travail à six réalisateurs et réalisatrices dans cinq pays différents. Qui sont-elles ? Pourquoi font-elles ce métier ?
Ce qui importe d’abord, c’est la manière dont chacune se voit, se pense. Les femmes parlent de leurs désirs, de leur besoin d’indépendance, pour le reste, elles décrivent leur vie au travail, les difficultés, la dureté, la nécessité de travailler, les envies, les regrets... Souvent, elles se ressemblent, par leurs gestes attachés aux machines, mais aussi par leur histoire, le besoin d’argent, certaines ont peur, d’autres se rebiffent, refusent.
Ce qui importe aussi, c’est la manière dont chacun des filmeurs, dans son pays, voit ces femmes au travail.
Les croisements des regards se font au gré des images et des paroles, sans autre guide que le jeu du loin et du proche, dans l’espace recomposé des usines et des ateliers, du rapport des corps aux machines, au travail.
Des travailleuses du textile parlent de la représentation de leur travail à six réalisateurs et réalisatrices dans cinq pays différents. Qui sont-elles ? Pourquoi font-elles ce métier ?
Ce qui importe d’abord, c’est la manière dont chacune se voit, se pense. Les femmes parlent de leurs désirs, de leur besoin d’indépendance, pour le reste, elles décrivent leur vie au travail, les difficultés, la dureté, la nécessité de travailler, les envies, les regrets... Souvent, elles se ressemblent, par leurs gestes attachés aux machines, mais aussi par leur histoire, le besoin d’argent, certaines ont peur, d’autres se rebiffent, refusent.
Ce qui importe aussi, c’est la manière dont chacun des filmeurs, dans son pays, voit ces femmes au travail.
Les croisements des regards se font au gré des images et des paroles, sans autre guide que le jeu du loin et du proche, dans l’espace recomposé des usines et des ateliers, du rapport des corps aux machines, au travail.